All-over

pour flûte en ut et système informatique de transformation en direct

*2004 *

Création le 9 avril 2004 par Hubert De Villele Auditorium Jean Cocteau à Noisiel

Durée 17′ (14′)

Le « All-over », terme de peinture apparue vers 1948 où chaque coup de pinceau annule le précédent et le rapport de celui ci avec la surface du fond. Cette technique amenée par Jackson Pollock donnera quelques temps plus tard le dripping, qui consiste à laisser dégoutter (to drip), puis couler un liquide plus ou moins fluide (encre, peinture) sur une surface plane, créant ainsi un réseau de lignes sur un espace plat.

Ce procédé me paraissait convenir pour traiter un instrument comme la flûte sur un espace créé par des traitements électroniques et la bande.

Les Tongue-ram, Pizz. ou bruits de clé, sortes d’impacts du son sur la surface du silence, font « couler » des lignes mélodiques qui vont évoluer, se dissoudre ou émerger de ces larges espaces.

Les traitements électroniques de la flûte sur la bande et ceux en direct, m’ont permis de sortir de la contrainte linéaire d’un instrument monodique, en générant des champs de profondeur, des masses, des reflets, des halos : drawing into painting.

Pollock dans certaines œuvres faisait couler le trait sur une peinture encore fraiche afin de fondre plus intimement celui-ci avec la matière. Le son direct de la flûte qui se prolonge dans une transformation spatiale, temporelle ou spectrale, participe de cette même démarche de transparence et de fusion de l’objet sur la matière, de la surface sur le fond. 

Dix huit, dix neuf

Dix huit, dix neuf

Pour piano et support CD

*2008*

Durée 12′

SoundcloudYouTube

Les sons sur support proviennent d’un clavecin, ils représentent un peu la mémoire enfouie du piano.

C’est un rapport de dialogue voire de dualité qui s’établit entre le support et le piano, on peut imaginer une forme « double concerto » avec parfois de véritables rapports de force entre les deux instruments.

Il y a à la fois une sorte de gène commun, de morphologie proche, entre les deux instruments, mais c’est aussi une manière de focaliser différemment sur les timbres, les jeux et la « distance » au son de ces deux instruments.

Partition et programmes disponibles chez le compositeur : christian.eloy@orange.fr

Suite SM

Suite SM

En hommage à l’œuvre de Luc Ferrari

Pour flûte (& piccolo), clarinette (& clarinette basse), contrebasse , piano et sons mémorisés (CD)

*2007* Durée 6′
création au festival Novart le 10 novembre 2007 au TNBA de Bordeaux par Ars Nova et Proxima Centauri

Pièce dédiée à mon fils Michel

J’ai repris et quelque peu détourné l’expression originale de Luc Ferrari  » SM  » pour les « sons mémorisés », appelés par d’autres, sons fixés ou autre expression liée au support ; en effet, ces « sons mémorisés » sont ceux que j’ai mis dans ma propre mémoire comme étant symboliques ou emblématiques de l’univers poétique de Luc Ferrari.

Le choix de ces « sons mémorisés » est donc tout à fait arbitraire, il répond à un désir de mémoire autant par le clin d’œil immédiatement évocateur de ces sons, que par le jeu purement musical.

Le déroulement de la pièce se soumet librement aux contraintes formelles de la « suite » ; les « sons mémorisés », volontiers anecdotiques, assurent la succession et l’alternance de moments plus abstraits ; l’écriture instrumentale utilise très souvent des traits d’analogie avec ces sons pour en quelque sorte les justifier.

La référence à l’œuvre de Luc Ferrari s’appuie sur l’anecdote immédiatement identifiable de l’univers sonore de Ferrari, mais elle est aussi prétexte à prolonger une quête profonde qu’il a, à maints égards, inaugurée.

Editée chez BabelScores

La dame du soleil

La dame du soleil

*2006*  

Durée 12′

Création le 19 décembre 2006 à Bordeaux par l’ensemble Proxima Centauri

Pour saxophone basse, 4 timbales, piano et dispositif numérique temps réel.

La Dame du Soleil est la suite de Pierre de soleil, sur le poème d’Octavio Paz (prix Nobel de littérature en 1990) dont il emprunte l’univers symbolique et la structure circulaire.

Cette pièce suit le voyage initiatique d’ Octavio Paz entre les mythologies mayas et méditerranéennes.

Le poète parle de  » flux poétique qui chemine comme un aveugle entre les galeries de sons, à tâtons, par les corridors du temps ». La musique émerge déjà fortement de ces mots !

Les 584 vers de 11 pieds du poème, qui correspondent à la révolution synodique de Vénus (comme le calendrier aztèque) sont à la fois le squelette, la chair et la forme de cette œuvre.

Comme dans le poème, l’électroacoustique amène une brusque rupture au milieu de la pièce, probablement le souvenir personnel d’Octavio Paz de certaines journées d’horreur (Madrid 1937), qui redonne au langage son double pouvoir créateur et libérateur.

La dame du soleil

*2006*    

Duration: 12 minutes

Created 19th december 2006 in Bordeaux by Proxima Centauri

For bass saxophone, 4 kettledrums, piano and a real time digital machine

La dame du soleil is the complete version of Pierre du soleil

La dame du soleil takes us back to the poem by Octavio Paz (1990 Nobel Prize for Literature) from which it borrows its symbolic universe and circular structure.

It is also a voyage of initiation for Octavio Paz between the Mayan and Mediterranean mythologies.

The poet tells of a « poetic flow wandering like a blind person, warily, among galleries of sounds through the corridors of time ». Music already flows from these words!

The 584 11-foot verses of the poem which correspond to the synodic revolutions of Venus (as in the Aztec calendar) together make the bones, the flesh and the form of the work.

Eneyida

Cette pièce est écrite comme un hommage au courage du peuple Ukrainien devant les souffrances et le martyre dont ils sont victimes en ce mois de février 2022.
Le titre “Eneyida“ se veut une référence au poème burlesque éponyme, écrit par Ivan Kotlyarevsky en 1798, qui est considéré comme fondateur de la littérature en langue Ukrainienne.
Ce poème est réputé être la première œuvre littéraire publiée entièrement dans la langue ukrainienne moderne. Bien que l’ukrainien soit une langue courante pour des millions de personnes en Ukraine , il a été officiellement découragé de l’usage littéraire dans la zone contrôlée par la Russie impériale.
Eneyida est une parodie de l’Enéide de Virgile, où Kotlyarevsky a transformé les héros de Troie en cosaques zaporogues. Les critiques pensent qu’il a été rédigé à la lumière de la destruction de l’Hetmanat Zaporogue sur ordre de Catherine la Grande. Le poème a été écrit pendant la formation du romantisme et du nationalisme en Europe. À cette époque, une partie de l’élite ukrainienne s’était prise de nostalgie pour l’État cosaque, liquidé par la Russie en 1775–1786.
Les trois premières parties du poème ont été publiées en 1798 à Saint-Pétersbourg, à l’insu de l’auteur. Le poème “Eneyida“ complet a été publié après la mort de Kotlyarevsky en 1842, il ne sera traduit qu’en 1933 dans le journal américain Ukrainian Weekly.
Cependant, la première traduction anglaise complète n’a été publiée qu’en 2006 au Canada par un ukraino-canadien : Bohdan Melnyk. 

crédits

paru le 15 mars 2022

 

This piece has been written as a tribute to the courage of the people of Ukraine in the face of the suffering and martyrdom they have been victims of during this month of February 2022.

The title “Eneyida” is intended to be a reference to the eponymous burlesque poem written by Ivan Kotlyarevsky in 1798, who is considered to be the founder of literature in the Ukrainian language of.

This poem is considered to be the first literary work published entirely in the modern Ukrainian language. Although Ukrainian is an everyday language for millions of people in Ukraine, its use in literature has been officially discouraged in the area controlled by Imperial Russia.

Eneyida is a parody of Virgil’s Aeneid, where Kotlyarevsky has transformed the heroes of Troy into Zaporozhsky Cossacks. The critics think that it was created in the light of the destruction of the Zaporozhsky Hetmanate ordered by Catherine the Great. The poem was written during the development of romanticism and nationalism in Europe. At the time, some of the Ukrainian elite were overcome by nostalgia for the Cossack state, eliminated by Russia in 1775–1786.

The first three parts of the poem were published in 1798 in Saint Petersburg, without the author’s knowledge. The full “Eneyida” poem was published after the death of Kotlyarevsky in 1842, and would only be translated in 1933 in the American journal Ukrainian Weekly. However, the first full English translation was only published in 2006 in Canada by a Ukraine Canadian called Bohdan Melnyk.

Sui generis

pour ensemble instrumental ( violon, alto, contrebasse, flute, clarinette basse, cor, percussion, harpe, clavier DX7) et dispositif électronique (Max & GRM-Tools)

création le 12 juin 2001 à Bordeaux par l’ensemble Musique Nouvelle

durée 12′

sui generis est une musique des contraires, des oppositions, des pôles.
A des matières fluides et fusionnées, viennent s’opposer des matières verticales et brisées ; à des timbres harmoniques complexes s’opposent des sons primaires et simples ; à des durées hors temps s’opposent la pulsation et des rythmes binaires. Comme si chaque chose appelle son contraire qui devient ainsi son complément.
Même les traitements électroniques n’affectent qu’un seul instrument, la harpe, en opposition à la masse des instruments acoustiques, une sorte de dentelle en pourtour.
On peut y voir la problématique fondamentale du déroulement du temps, dans une dialectique du continu et du discontinu, de l’horizontal et du vertical.

Les Prométhéides

A André Timbert
Pour orchestre symphonique
6 flûtes, 3 hautbois, 4 clarinettes Sib, 4 bassons, 4 trompettes, 3 trombones, 4 cors en fa, 2 harpes, 4 percussions, 20 violons 1, 18 violons 2, 10 altos, 8 violoncelles, 6 contrebasses.
*2000* Durée 16′
Commande de l’Orchestre Universitaire de Picardie
Création française le 6 octobre 2000 à l’Auditorium Dutilleux – Amiens
Création allemande le 2 novembre 2000 à Dortmund

 L’Orchestre Universitaire de Picardie et le Studentenorchester de Dortmund ont décidé de célébrer les 40 ans de jumelage entre les villes d’Amiens et de Dortmund en passant commande, avec l’aide de la ville d’Amiens, de l’Université de Picardie, DE LA SACEM, d’une pièce pour orchestre.
Christian Eloy a participé aux tous premiers échanges musicaux entre ces deux villes avec l’orchestre du lycée sous la direction de Mr André Timbert, à qui cette oeuvre est dédiée.
Le mythe du titan Prométhée (dont la statue domine la cité scolaire) et de sa descendance : les Prométhéides, s’est imposé comme un thème étonnamment moderne et humaniste, riche de significations symboliques profondes très contemporaines, propre à commémorer cet événement.
On connait le Prométhée enchaîné, mais Prométhée est aussi le porte-feu de la civilisation, l’insurgé vaincu, celui qui arrache à Zeus, par sa seule connaissance, la reconnaissance d’une liberté neuve ; c’est encore le symbole de l’action qui veut changer le monde en opposition à la contemplation et la résignation.
On le voit, le mythe prométhéen peut encore au 21ème siècle, amener à réfléchir sur les rapports entre la nature et la civilisation, entre l’audace et le respect, la révolte de l’homme aventurier, créateur d’une humanité nouvelle.
Ce mythe a inspiré une plétore d’écrivains ( Goethe, Nietzsche, Shelley, Gide, Victor Hugo, etc. ) et de compositeurs ( Fauré, Schubert, Scriabine et Beethoven dans le thème du final de sa symphonie héroïque ).

Partition disponible chez le compositeur
CD disponible chez le compositeur
Les prométhéides
Synop2
« de 39 »

Ethos

pour ensemble instrumental traité en temps réel par un dispositif audionumérique.

la pièce peut aussi être jouée sans les transformations électroniques

Flûte, clarinette basse, cor, violon, alto, contrebasse, harpe, synthétiseur DX7, percussion

*1996*

Durée 20′

Création par l’ensemble Musique Nouvelle à Bordeaux le 2 avril 1996

 Les Grecs avaient une conception très universaliste des sciences, des arts, de l’éducation, en particulier l’éducation musicale qui établissait une relation étroite entre « l’art des sons » et « les mouvements de l’âme ». Le rythme et la nature des modes jouaient un rôle important dans cette relation. L’éthos était une véritable doctrine sur laquelle les Grecs fondaient leur conception morale et éducative de la musique.

Le mot Ethos (moeurs), donnera éthique, puis plus tard (1611) l’éthologie, sciences des caractères et de leur formation (traité sur les moeurs) avant d’évoluer (1849) pour traiter de la science du comportement des espèces animales.

Il y avait là pour moi une belle idée de relations étroites et d’interaction entre des éléments hétérogènes : des instruments acoustiques, de la synthèse par modulation de fréquence, des traitements numériques temporels et fréquentiels sur l’un ou l’autre de ces instruments. Tout cela devait se fondre et répondre à une sorte de doctrine unificatrice et cohérente.

Un jeu de hauteurs sur 3 modes répond à 3 groupes d’instruments. Les traitements par informatique se font en temps réel : le son de l’instrument, prélevé par les micros, est échantillonné, modifié par les calculs de l’ordinateur sur des programmes pré-définis, puis reconverti en analogique (haut-parleurs) en quelques millièmes de seconde.

Il y a constamment une sorte de dualité entre l’horizontalité des pâtes sonores aux couleurs complexes grâce aux traitements numériques et la verticalité des ruptures et des émergences solistes qui semblent se faire absorber et se fondre dans une espèce d’épaisseur harmonique mouvante et rémanente.

Mes remerciements à l’INA- GRM pour son logiciel GRM Tools.  
Cette pièce a reçu le prix François de Roubaix en 1996 à Antibes

Editée chez Notissimo

CD disponible chez le compositeur

Quattrocento

Pour double quintette de saxophones

*1991*

Durée 12′

Création au centre A. Malraux à Bordeaux le 9 février 1992

  » QUATTROCENTO  » : mouvement artistique italien du 15 ème siècle qui fit une grande place à la géométrie dans la peinture et en particulier la perspective.

Cette pièce est écrite pour un double ensemble de sax qui comprend
pour l’ensemble A : Sopranino, Soprano, Alto, Ténor, Baryton
et pour l’ensemble B : Soprano, Ténor, Baryton, Basse

La disposition décrite dans la partition est importante à respecter pour obtenir les effets d’espace recherchés.

Le son doit circuler latéralement de façon très fluide entre les deux ensembles et d’avant en arrière.
On jouera clairement l’opposition entre les espaces indistincts (souvent du souffle et des multiphoniques instables ) et les verticalités ( accords ) ou les enchainements chromatiques « mobiles ».

 Partition et programmes disponibles chez le compositeur

 

La dentelle du signe

*1989*

Durée 23′

Commande d’état

Pour flûte, clarinette, violon, violoncelle, piano.

Création le 14 décembre 1989 à Besançon par l’ensemble Tetraktys

La Dentelle du Signe est dédiée à mon père, décédé tragiquement »

 Le titre évoque à la fois une dimension cosmique, puisque la Dentelle du Cygne est une supernovae, un type d’étoile très lumineuse, mais aussi une dimension humaine par le signe au sens de la sémantique.

Le macro-système de cette étoile atomisée, émet des signes par des spectres de lumières, des brillances, des nébuleuses gazeuses qui résultent d’une formidable énergie libérée par instabilité vibrationnelle.

Le micro système humain procède lui aussi par émission de signes d’origine vibratoire (la voix, la vue, l’écoute) ; en particulier la musique toute faite de vibrations complexes et instables.

Une panoplie de nouveaux modes de jeu sur les instruments traditionnels m’a permis d’évoquer ces masses floues mi- gazeuses mi-pointillistes avec des brillances parfois plus précises, des traits, des courbes prolongées de traînées se dispersant dans l’infini ; des impacts sonores qui brillent sur des nappes de souffle ou de balayage harmonique.

La construction de la pièce repose sur ce principe de spectre harmonique cohérent : les suites de hauteur, les verticalités harmoniques ; par rapport au spectre incohérent des bruits blancs ou sons inharmoniques : notes soufflées, multiphoniques, slaps, jeu derrière le chevalet, clusters, etc…

L’interprétation de cette pièce requiert la maîtrise des techniques de jeux contemporains de la part des cinq instrumentistes, ces modes de jeu devant s’intégrer dans le discours musical.

Editions : Jobert

disponible à la Librairie Musicale Internationale

A battuta

A battuta

*2015

Pour percussions et sons fixés

Durée 12′

en hommage à Ivo Malec

Pièce explorant les rapports entre les sons fixés, dont l’origine est souvent l’instrumentarium de la percussion classique et les matériaux bruts (métal, bois), et un ensemble de percussion mêlant les instruments en métal, les peaux et les bois, dans un dialogue impossible tel un miroir dont l’image reste obstinément inversée. L’exploration se déroule aussi dans le domaine spectral, avec une sorte d’exposition individuelle des spectres des familles de la percussion (bois, peaux, métaux), puis des combinaisons de ceux-ci. Le dialogue avec les sons fixés ne fait que renforcer cette thématique de timbres et de couleurs spectrales.
Publié chez BabelScores

BANDCAMP

A battuta

*2015*

For percussion and support

Duration 12′

A tribute to Ivo Malec An exploration of relationships between fixed sounds whose origin are often classical percussion and natural materials (metal, wood), and a percussion ensemble with mixed metal and wood instruments, in an impossible dialogue, just like with a mirror whose image remains obstinately reversed. This exploration happens also in through the spectral domain, with a kind of individual exposition of sonic spectrum of each family spectrum of percussions (wood, skins, metal), then combinations of them. The dialogue with the fixed sounds only renforce this theme of timbers and spectral colors. Publié chez BabelScores

BANDCAMP

Glaukonomé

Pour ensemble vocal mixte

*1988 *

Durée 6′

Soundcloud YouTube 

Texte extrait de :

 » A l’ombre des jeunes filles en fleurs « 

Marcel PROUST

Avant tout j’avais ouvert mes rideaux dans l’impatience de savoir quelle était la Mer qui jouait ce matin là au bord du rivage, comme une néréide. Car chacune de ces Mers ne restait jamais plus d’un jour. Le lendemain il y en avait une autre qui parfois lui ressenblait. Mais je ne vis jamais deux fois la même.

La fenêtre en s’entrouvant découvrit-elle à mes yeux émerveillés la nymphe GLAUKONOME, dont la beauté paresseuse et qui respirait mollement, avait la transparence d’une vaporeuse émeraude.

 Glaukonomé est une courte pièce vocale accessible aux ensembles amateurs.

 Éditée chez Questions de Tempéraments N° 163

Sencha

A Fabien

 Pour violon alto solo

*1993 *

Durée 9′

SENCHA est une pièce à vocation pédagogique, quoique pouvant être jouée en concert. Le niveau est celui de fin d’étude ou moyen.

Cette pièce est une bonne approche du langage contemporain pour le violon alto, sans difficultés excessives.

Elle est donnée régulièrement aux concours et examens de conservatoires.

 Pièce éditée chez Jobert

 disponible à la Librairie Musicale Internationale

Christian ELOY