Drame lyrique pour orchestre et choeurs
Livret de Jean-Claude BELLANGER
Durée 45 minutes
Commande du conservatoire de Caluire
Création à l’Auditorium M. RAVEL de Lyon le 18 Mars 1989
Cette pièce, pour orchestre et choeurs à gros effectifs, est destinée aux conservatoires ou écoles de musique ayant un bon niveau instrumental et vocal. Le temps de préparation est assez important et cette pièce ne peut se monter que dans le cadre d’une opération bien programmée.
Le livret comprend dix textes qui se présentent comme le voyage dans le temps d’un groupe d’enfants, doublé d’une chasse au trésor, à la recherche d’un possible recours et de l’espoir, par rapport à la violence qui les entoure.
L’auteur, dans son prologue, dit : “On peut écrire, pour les enfants, une oeuvre grave et forte, qui ne leur cache pas les questions essentielles… que des citoyens de l’an deux-mil y réfléchissent à l’occasion d’une création lyrique me semble être une façon vivifiante de célébrer le bicentenaire de 89… il chante l’Histoire comme énergie vivante… la longue chaîne d’hommes qui nous unit au passé…”
Cette oeuvre, de 45 minutes, dépasse très largement l’évènement ponctuel de la célébration du bicentenaire par l’envergure et la densité musicale et dramatique.
Elle permet à un conservatoire de faire participer tous ses effectifs, allant des plus jeunes dans les choeurs d’enfants jusqu’aux éléments les plus avancés dans l’orchestre y compris certains professeurs, ainsi qu’une chorale d’adultes, comme il en gravite souvent autour des conservatoires, dans une oeuvre unique et intense.
La présence d’un chef de choeur s’est avérée utile et une bonne solution pour gérer la masse importante des chanteurs, lors de la création.
La facture et le propos de cette pièce permettent une mise en scène et un travail de lumière et de déplacements qui ne feront qu’ajouter à la dramaturgie du spectacle.
Le matériel complet est disponible chez le compositeur ; l’enregistrement et la vidéo sont au Centre de Documentation de la Musique Contemporaine.
Matériel disponible chez le compositeur